Affichage sauvage, affichage libre, flyposting, wild posting

L’affichage sauvage, également appelé affichage libre, est une pratique publicitaire réalisée en dehors des supports réglementés. Bien que cette méthode soit sujette à des risques juridiques, elle est souvent utilisée pour sa capacité à atteindre un large public. Les supports courants incluent les palissades, les escaliers, les graffitis publicitaires et les marquages au sol. Malgré sa perception parfois négative, l’affichage sauvage reste efficace pour promouvoir divers événements. Ce sont le plus souvent des spectacles, des expositions, des événements sportifs et même des campagnes politiques. Certaines régions offrent des panneaux d’affichage libres, tandis que d’autres nécessitent une adaptation de la méthode de pose. Cette pratique s’étend également à l’international, avec des opportunités d’affichage à Londres, New York, Amsterdam, Milan et dans plusieurs villes belges comme espagnoles.

Affichage sauvage : une approche efficace de publicité alternative

Cette pratique, bien que controversée en raison de son caractère illégal, offre une visibilité maximale à moindre coût. Il est souvent utilisé dans le cadre du street marketing ou du guerilla marketing. L’affichage sauve s’utilise pour promouvoir des événements culturels ou sportifs, des produits ou des idées politiques.

Les supports et les techniques utilisés avec le wild posting

Les supports les plus couramment utilisés dans l’affichage sauvage comprennent :

• le plus souvent les palissades ;
• mais aussi les commerces abandonnés ;
• parfois les contre-marches des escaliers ;
• puis les graffitis publicitaires ;
• comme les affiches sur les panneaux ;
• enfin le marquage au sol.

Ces techniques permettent de toucher un large public dans des endroits fréquentés de manière non conventionnelle.

Le format le plus utilisé pour l’affichage à la colle est le B1 (70 × 100 cm) voire le A0 (80 × 120 cm). Une compagne d’affichage avec ces formats peut être soutenue pour quelques affiches de très grands formats (4 × 3 ou 3 × 2 m) sur les lieux les plus stratégiques. De plus, plusieurs méthodes d’affichages peuvent être utilisées. Enfin les campagnes peuvent s’effectuer en parallèles sur plusieurs réseaux publicitaires.

Risques et avantages de l’affichage sauvage

Malgré les risques juridiques associés à l’affichage sauvage, comme les amendes potentielles, de nombreuses entreprises et organisations continuent de l’utiliser en raison de ses avantages. En effet, cette méthode permet d’atteindre des publics difficiles à toucher par d’autres moyens. Cette technique d’affichage offre ainsi une visibilité accrue à moindre coût. Cependant, il est essentiel pour les annonceurs de peser les risques juridiques et l’impact sur leur image de marque avant d’opter pour cette stratégie.

Utilisations courantes de l’affichage sauvage

L’affichage sauvage est largement utilisé pour promouvoir une variété d’événements et de produits. Il est couramment utilisé pour la promotion de spectacles de théâtre et de danse, de festivals de musique, de concerts et d’expositions d’art. De plus, il est également utilisé pendant la Fashion Week de Paris pour mettre en avant les marques de mode. Les manifestations politiques et les campagnes électorales font également partie des utilisations courantes de cette méthode.

Adaptation régionale de l’affichage libre

La disponibilité des espaces d’affichage libre varie d’une région à l’autre. Certaines municipalités offrent des panneaux d’affichage libres, tandis que d’autres nécessitent une adaptation de la méthode de pose. Il est donc essentiel pour les annonceurs de se renseigner sur les règlements locaux avant de lancer une campagne d’affichage sauvage.

• Paris et la région Île-de-France ;
• Bretagne sur la ville de Rennes ;
• Normandie sur les villes Caen et de Rouen ;
• Pays de la Loire sur les villes d’Angers, La Roche-sur-Yon, Laval, Le Mans et Nantes ;
• Centre-Val de Loire à Bourges et Châteauroux ;
• Poitou-Charentes sur les villes de La Rochelle, Niort, Poitiers, Rochefort, Royan, Saintes, Cognac et Angoulême ;
• Nouvelle-Aquitaine sur la ville de Bordeaux ;
• Hauts-de-France à Lille et Dunkerque ;
• Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine (Grand Est) à Strasbourg, à Mulhouse, à Colmar, à Nancy et Reims ;
• Bourgogne-Franche-Comté à Dijon, à Belfort et Montbéliard ;
• Provence-Alpes-Côte d’Azur sur les villes de Arles, Avignon, Aix-en-Provence, Cannes, Fréjus, Marseille, Montpellier, Nice, Nîmes, Orange, Saint-Raphaël, Salon-de-Provence et Toulon ;
• Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées sur la ville de Toulouse ;
• Rhône-Alpes à Lyon et sur les villes de Villefranche sur Saône, Ambérieu en Bugey, Porcieu Amblagnieu, Bourgoin-Jailleu, Vienne, Salaise sur Sanne, Annonay, Romans, Privas, Loriol, La Voulte, Tournon, Givors, et Rôanne ;
• Auvergne-Rhône-Alpes à Grenoble, Saint-Étienne et Valence.

Flyposting, wild posting : une pratique qui s’étend à l’international

L’affichage sauvage ne se limite pas à la France. Cette pratique s’étend à l’international, avec des opportunités d’affichage à Londres, New York, Amsterdam et dans plusieurs villes belges. Cette dimension internationale offre aux annonceurs la possibilité d’étendre leur portée au-delà des frontières nationales et d’atteindre un public mondial :

• à Londres comme sur toutes les grandes villes d’Angleterre ;
• ainsi qu’à New-York aux États-Unis ;
• mais aussi à Montréal et à Toronto au Canada ;
• et à Amsterdam en Hollande ;
• comme sur plusieurs villes de Belgique ;
• puis en Italie sur des villes comme Milan.

Conclusion

En conclusion, l’affichage sauvage reste une stratégie de publicité alternative efficace pour promouvoir des événements, des produits ou des idées. Malgré ses risques juridiques, cette méthode offre une visibilité maximale à moindre coût ; ce qui en fait un choix attrayant pour de nombreuses entreprises et organisations. Cependant, il est important pour les annonceurs de prendre en compte les implications légales et l’impact sur leur image de marque avant d’opter pour cette stratégie.